Il existe de nombreux modèles de smartphones haut de gamme, plus ou moins perfectionnés, plus ou moins jolis et tous compatibles avec la 5G. Pour qui dispose d’un budget illimité pour choisir le modèle qui lui conviendra parfaitement, de nombreuses options chez différentes marques s’offrent à lui. Envie d’avoir ce qui se fait de mieux pour votre prochain téléphone ? Le smartphone le plus puissant du monde ? N’allez pas plus loin, nous avons choisi pour vous les meilleurs smartphones haut de gamme du moment.

Pour une vue d’ensemble du marché, nous avons également un guide d’achat des meilleurs smartphones de 2024. Si vous voulez un smartphone premium, mais souhaitez tout de même vous mettre une limite pécuniaire, jetez donc un œil à notre sélection des meilleurs smartphones à moins de 800 euros.

Par ailleurs, la plupart des téléphones récents n’étant plus livrés avec un bloc secteur, jetez donc un œil à notre sélection de chargeurs rapides. Si vous voulez vous essayer à la charge sans fil, nous vous proposons également un choix sur les meilleurs chargeurs sans fil.

  •  Superbe Ă©cran de 6,8 pouces
  •  La puissance au rendez-vous
  •  Une polyvalence photo au top
  •  Un tarif exorbitant

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En 2024, le Galaxy S24 Ultra représente la quintessence de l’ultra haut de gamme côté Android. Élégant, puissant, endurant… le dernier smartphone de Samsung a tout pour lui, et si vous cherchez un téléphone premium avec un grand écran, il est sans doute une des meilleures options pour le moment.

Samsung Galaxy S24 Ultra // Source : Robin Wycke – Frandroid

À tous points de vue, le S24 Ultra est vraiment un téléphone premium. Son cadre en titane et son Gorilla Glass Armor lui assure des finitions parfaites et une solidité à toute épreuve. Son design très anguleux le rend assez unique. Quant à son écran, comptez sur 6,8 pouces LTPO en Amoled et une superbe luminosité.

La partie logicielle assure aussi le job avec un One UI au top, sans compter que vous profiterez de sept années de mises à jour Android. La puce Snapdragon 8 Gen 3 constitue le top du top en 2024, et elle fera tourner le téléphone à merveille, notamment sur le gaming. Une belle pincée d’IA a aussi été ajoutée, que ce soit pour la retouche photo ou encore les fonctionnalités sur la traduction. La photo, d’ailleurs, parlons-en : comme souvent, Samsung réussit à proposer une partition d’excellence. On salue tout particulièrement le téléobjectif x5 qui fait des merveilles, ainsi que le mode portrait, toujours aussi beau.

Comptez sur deux jours d’autonomie et une recharge à 45W (chargeur non fourni), qui aurait pu être un peu plus élevé en 2024. Pour ce qui est de la connectivité, on a droit à du Bluetooth 5.3 et même du Wi-Fi 7, le top du top.

En bref, c’est tout simplement le meilleur smartphone Android haut de gamme du marché. Reste un prix toujours aussi exorbitant à 1469 euros. On vous conseillera d’attendre un peu avant de craquer pour le prix baisse.

Pour en savoir plus, retrouvez notre test du Galaxy S24 Ultra sur Frandroid.

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Les iPhone 15 Pro Max et 15 Pro intègrent un certain nombre de nouveautés, à commencer par un nouveau châssis en titane. C’est ce matériau qui permet au meilleur iPhone d’Apple de rester très léger, seulement 221 g, ce qui est peu pour un smartphone de cette taille. L’arrière du téléphone profite d’un revêtement en verre mat du plus bel effet.

Source : Frandroid – Chloé Pertuis

L’iPhone 15 Pro Max dispose d’un grand écran Super Retina XDR OLED de 6,7 pouces, en 2796 x 1290 pixels et avec un taux de rafraîchissement de 120 Hz. Cette dalle offre une luminosité exceptionnelle de 2219 nits, ce qui la rend consultable en toute situation. On retrouve toujours Dynmaic Island, cette pilule dynamique en haut de l’écran.

Grande nouveauté sur ces modèles, l’ajout d’un bouton Action, personnalisable, qui est situé au-dessus des boutons de volume. Les actions possibles sont pour le moment limitées, on citera, par exemple, l’activation du mode concentration, de la lampe torche ou du mode silencieux.

Sur la photo, c’est un carton plein. L’appareil photo principal offre une résolution de 48 Mpx, il est accompagné d’un ultra grand-angle 12 Mpx et d’un téléobjectif 5x 12 Mpx. Il s’avère être particulièrement polyvalent, et fait des merveilles notamment sur le mode Nuit et le mode Portrait. En vidéo, c’est la meilleure référence possible sur le marché des smartphones.

Côté puissance, il n’est pas en reste grâce à la nouvelle puce A17 Pro, qui pourra cependant chauffer sur les tâches lourdes. Sur le gaming notamment, il a tout bon, et vous pourrez même jouer sur un écran en le connectant en USB-C. Car oui, adieu le port Lightning, les iPhone 15 profitent enfin d’un port USB-C digne de ce nom. Attention, cela ne veut pas dire pour autant que la charge devient plus rapide, il faudra toujours vous contenter de 20 W, et penser à le recharger la nuit. Le téléphone tiendra, en effet, sans souci la journée, et la matinée suivante, mais pas tellement plus.

Pour tout savoir de ce modèle, direction notre test de l’iPhone 15 Pro Max par Titouan.

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  •  Un design mat très joli
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  •  QualitĂ© photo bluffante, IA intĂ©ressante
  •  Autonomie un peu juste

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Avec son nouveau Pixel 8 Pro, Google revient avec une nouvelle évolution de son smartphone le plus haut de gamme. La firme de Mountain View propose une expérience Android pure (la « Pixel Experience ») et un design unique. Ce dernier évolue un peu par rapport au Pixel 7 Pro, le téléphone devenant notamment beaucoup moins anguleux.

Côté affichage, on retrouve une dalle de très bonne qualité. L’écran Amoled de 6,7 pouces coche toutes les cases, notamment avec une belle luminosité maximale (1771 cd/m² en HDR), ainsi qu’un taux de rafraîchissement adaptatif, allant de 10 à 120 Hz. La calibration des couleurs est en outre excellente.

Sous le capot, on trouve le Tensor G3, la 3e itération du SoC made in Google. Si ce dernier n’est pas une bête de benchmarks, il assure sans souci un système ultra fluide et réactif. Il ne s’agit clairement pas d’une puce dédiée au gaming, mais vous pourrez tout de même jouer confortablement à des jeux tels que Fortnite ou Genshin Impact. Reste qu’il s’agit d’une puce qui est loin d’être la plus puissante du marché, comparée à la concurrence. Sur la partie logicielle, Android 14 est au menu, et bonne nouvelle : vous aurez un support de pas moins de 7 ans de mises à jour.

Sans surprise avec Google, le Pixel 8 Pro est un roi de la photo. Les capteurs ont tous été revus : un capteur 50 Mpx avec objectif grand-angle, un capteur 48 Mpx ultra grand-angle, et un capteur 48 Mpx avec téléobjectif X5. Le Pixel 8 Pro propose en outre un zoom numérique « haute résolution » jusqu’à x30, un autofocus laser et une stabilisation d’image optique et électronique sur l’objectif grand-angle et le téléobjectif. Un mode Pro dans l’app Appareil photo a enfin été ajouté, et les options proposées par l’IA sont intéressantes, avec Gomme magique et Meilleure prise.

Nous sommes un peu restés sur notre faim concernant l’autonomie, qui n’est pas flamboyante. Pour une journée, c’est bon… mais pas tellement plus. Comme ses grands concurrents Apple et Samsung, la recharge ne peut monter qu’à 30 W.

Pour tous les détails, direction le test du Pixel 8 Pro.

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  •  Design soignĂ© et plus fin
  •  Puce très puissante
  •  Bel Ă©cran interne
  •  Un tarif indĂ©cent
  •  Ratio des Ă©crans un peu Ă©trange

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Samsung est décidément très présent sur le secteur du haut de gamme mobile. Le coréen est à la pointe sur les smartphones pliables en Europe, et a été le premier à les commercialiser. La 5e itération du Galaxy Z Fold est là avec quelques bonnes améliorations.

Galaxy Z Fold 5. // Source : Frandroid – Brice Zerouk

Esthétiquement, le Z Fold 5 est proche du Z Fold 4. La charnière a été revue et constitue la principale évolution : en revanche, la pliure est toujours visible et se sent sous le doigt. L’écran externe de 6,2 pouces (2316 x 904 pixels) peut monter jusqu’à 120 Hz, mais on le trouvera un peu étroit. Le grand écran interne, au format presque carré, mesure quant lui 7,6 pouces en 2176 x 1812 pixels. Cet écran est une vraie merveille, aux couleurs chatoyantes, avec une luminosité maximale impressionnante, qui monte à 1664 cd/m².

Sur les performances, rien à redire grâce au Snapdragon 8 Gen 2 optimisé pour Samsung qui fournit une expérience de jeu parfaite, surtout sur un écran aussi vaste. Quant au volet photo, il est très réussi : l’appareil photo parvient à être très polyvalent. En utilisation hybride, le pliant de Samsung a tenu 11 heures et 26 minutes. En pratique, vous tiendrez une journée avec une utilisation plutôt intensive.

Si le Fold 5 est une belle pépite, il n’est cependant pas donné (c’est peu de le dire). À 1 899 euros la configuration de base, il est tout simplement le smartphone le plus cher actuellement…

Vous pouvez consulter notre test détaillé pour plus de détails.

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L’alternative : le OnePlus Open

Le OnePlus Open. // Source : Frandroid – Chloé Pertuis

OnePlus a fait un joli coup d’éclat en sortant un téléphone pliable d’excellente facture, le OnePlus Open. Ce dernier a tout pour lui : une pliure parfaitement invisible, des performances au top (sans chauffe), un appareil photo très satisfaisant, une recharge à 67W, sans parler des écrans qui sont d’excellente qualité et avec un ratio plus pratique que les autres pliants. En bref, il a tout bon et offre un équilibre sans faille.

Mais comme toujours avec des produits aussi premium, le portefeuille devra suivre, puisqu’il faut débourser 1800 euros pour poser les mains dessus.

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Le Galaxy Z Flip 5 et ses compères

Si vous souhaitez tester un téléphone pliable, mais n’avez pas un budget aussi élevé, vous pouvez opter pour un smartphone à clapet. Le Galaxy Z Flip 5 est notamment disponible à présent autour de 1200 euros.

Pour une expérience différente, regardez aussi du côté de Motorola et de son Razr 40 Ultra, à clapet lui aussi, et vendu à 1199 euros également.

  •  Un design original et soignĂ©
  •  De bonnes performances
  •  Charge filaire très rapide
  •  Autonomie un peu juste
  •  Pas de tĂ©lĂ©objectif

Disponible à 1 199 € sur Fnac

Pour 2023, Vivo propose le X90 Pro, successeur du très bon X80 Pro. Il s’agit d’un grand format, très à la mode, avec une dalle Amoled incurvée de 6,78 pouces. Si la luminosité maximale est excellente, et que le taux de rafraichissement monte jusqu’à 120 Hz, ce dernier n’est cependant pas variable. Le design est quant à lui très réussi, avec un dos en cuir vegan et une bonne prise en main. Bon point, le téléphone est certifié IP68 et donc résistant à l’eau et à la poussière.

Le Vivo X90 Pro // Source : Robin Wycke – Frandroid

Le X90 Pro s’inscrit parmi les flagships de ce début d’année. Ainsi, côté performances, il n’y a rien à redire : Vivo a opté pour un SoC Dimensity 9200 à huit cœurs. Les jeux 3D les plus exigeants tourneront sans problème, et la chauffe est contenue.

Si le X80 Pro était vraiment bon en photo, le X90 Pro n’apporte pas énormément d’améliorations. Malheureusement, il n’embarque pas de téléobjectif, contrairement ses concurrents actuels. Vous trouverez cependant un capteur principal de 1 pouce, ce qui est une rareté, accompagné d’un capteur portrait de 50 Mpx et d’un ultra grand angle de 12 Mpx. Si le capteur principal s’en sort bien sur différentes situations, l’ultra grand angle, lui, donne des résultats plutôt mitigés, surtout en basse lumière. Le mode Portrait est de son côté très réussi.

Vivo a équipé son téléphone haut de gamme d’une batterie de 4870 mAh, en deçà de la concurrence. Cela se traduit, en pratique, par une grosse journée d’utilisation, ce qui est au final assez peu en 2024. Heureusement, une charge rapide très efficace (120 W)  permet de recharger intégralement le téléphone en moins de 30 minutes. Ce point précis marque la différence avec les smartphones premium de Samsung et d’Apple.

Pour conclure, le Vivo X90 Pro est un bon téléphone : cependant, il devra être considéré au regard de ses concurrents que sont notamment le Galaxy S23 Plus, l’iPhone 14 Pro, ou encore le OnePlus 11, moins cher.

Si vous êtes intéressés et voulez plus de détails, foncez lire notre test complet du Vivo X90 Pro qui pourra vous éclairer.

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  •  Excellente autonomie et charge rapide
  •  Écran Oled 120 Hz de qualitĂ©
  •  Appareil photo très efficace
  •  Pas de Gorilla Glass

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Honor vient titiller les ténors de l’industrie sur le haut de gamme avec son Magic 5 Pro. Pari réussi pour le constructeur chinois : ce modèle premium fait fort sur pas mal de points, à commencer par un design assumé et des finitions léchées.  L’imposant module photo est un parti pris, qui permet au moins de démarquer le modèle. Si le design est réussi et les matériaux de qualité, on pourra tout de même regretter l’absence de Gorilla Glass, un manque pour ce prix.

Honor Magic 5 Pro // Source : Chloé Pertuis – Frandroid

En retournant l’appareil, on pourra profiter d’un immense écran Oled de 6,8 pouces. Ce dernier, très légèrement incurvé, est bien précis, contrasté et lumineux, avec un taux de rafraichissement à 120 Hz. La petite pilule en haut abrite d’ailleurs un capteur pour la reconnaissance faciale, qui fonctionne très bien.

Belle partition aussi du côté de la photo, qui place clairement l’appareil dans le haut de gamme. Le capteur principal de 50 Mpx offre de superbes clichés, avec un piqué bien précis et une vaste plage dynamique. On notera la présence d’un téléobjectif avec un zoom x3,5. Les photos de nuit ont un beau rendu, de même que le mode portrait qui est bien naturel. L’ultra grand angle est par contre lui un peu en retrait sur la qualité, un défaut assez commun sur ce type de téléphone.

Aux manettes, vous trouverez la star de 2023, à savoir la puce Snapdragon 8 Gen 2 de Qualcomm, qui comme d’habitude fait des merveilles. Aucun jeu 3D ne lui résistera. Elle permet d’ailleurs d’offrir une très belle autonomie au téléphone, ce dernier tenant facilement deux jours, voire même trois. La recharge rapide à 66 W (50 W en sans-fil) est aussi très appréciable, et le chargeur est fourni (on vous regarde, Samsung et Apple).

De manière générale, le téléphone haut de gamme est très équilibré et abouti, même si on pourra lui reprocher une interface Magic UI à laquelle il manque quelques éléments pour être au niveau de la concurrence.

Pour davantage de précisions, rendez-vous sur notre test du Magic 5 Pro.

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  •  Les performances de la Snapdragon 8 Gen 2
  •  Son grand et bel Ă©cran Oled
  •  Un design premium et assumĂ©
  •  Quelques points faibles en photo

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Le Xiaomi 13 Ultra représente le top du top chez Xiaomi. Le smartphone haut de gamme du constructeur chinois s’avère bien équilibré, s’appuyant sur trois grandes forces : un superbe écran Oled, un design original bien maitrisé, et une puissance particulièrement appréciable.

Source : Frandroid – Chloé Pertuis

Xiaomi prend un parti pris tranché en choisissant de mettre en avant le module photo, un peu à la manière d’Honor.  Vous ne pourrez donc pas manquer les quatre objectifs à l’arrière. Avec son cadre en aluminium et son revêtement en cuir végan, on est à n’en point douter devant un smartphone premium. En outre, toutes les certifications d’étanchéité et de résistance sont là.

Quant à la dalle, celle-ci a tout bon, et vous aurez donc droit à un vaste écran Oled de 6,73 pouces en WQHD+, avec un rafraichissement à 120 Hz en LTPO, 1230 nits de luminosité et le HDR10+. À utiliser, c’est un régal. Belle performance également sur le choix de la puce qui anime le téléphone : pas de faux pas puisqu’il s’agit de la Snapdragon 8 Gen 2, la plus puissante du marché actuellement.

Sur la photo, Xiaomi reste fidèle à lui-même. Le téléphone ne parvient pas à égaler les maitres du genre que sont le Galaxy S23 Ultra et le Pixel 7 Pro. Si le capteur principal réalise des photos tout à fait jolies et exploitables, on regrettera tout de même un petit manque de piqué global. On salue par contre l’intégration de deux téléobjectifs.

Si l’autonomie n’est pas particulièrement folichonne, le smartphone peut en revanche compter sur une charge rapide à 67W qui permet de faire le plein en 40 minutes.

Pour tous les détails sur ce modèle, direction notre test complet du Xiaomi 13 Ultra. Avec un tarif qui frôle les 1 500 euros, on vous conseillera tout de même d’attendre un peu des baisses de prix et autres promotions…

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OnePlus a dégainé en 2023 sur le secteur du haut de gamme avec un modèle qui a retenu toute notre attention. Le OnePlus 11 a été l’un de nos coups de cœur et pour cela, la marque est revenue sur ses fondamentaux : de la puissance, de la performance et du premium.

OnePlus 11
Source : Anthony Wonner – Frandroid

À la baguette, vous retrouverez d’abord la puce Snapdragon 8 Gen 2, accompagnée d’au minimum 8 Go de mémoire RAM. Celle-ci vous permet de faire tourner des jeux mobiles exigeants, mais aussi plusieurs applications à la fois. S’il chauffe un peu à la longue, le téléphone reste performant. Surtout, le logiciel OxygenOS offre un très large panel de personnalisations agréables.

Dans le volet du design, la prise en main du OnePlus 11 est excellente. Les matériaux sont de qualité et le téléphone est agréable à utiliser. L’écran Super AMOLED de 6,7 pouces offre aussi de belles prestations grâce à une belle luminosité et des couleurs assez fidèles. L’autonomie est quant à elle monstrueuse avec deux jours d’endurance pour un usage polyvalent et une charge rapide 100 W permettant d’être à 100 % rapidement.

Tout n’est cependant pas rose. En dépit d’un partenariat avec Hasselblad, la photographie se révèle assez moyenne surtout lorsque l’on sollicite le grand angle et l’ultra grand angle. Enfin, quand on vous dit moyenne, c’est surtout pour du très haut de gamme, car l’ensemble reste cohérent. Surtout à 849 euros. Notre test du OnePlus 11, vous donne plus d’éléments pour découvrir l’un des meilleurs smartphones haut de gamme de 2023.

Notez que le OnePlus 12, le successeur pour 2024, a été officialisé et ne saurait tarder en Europe. Retrouvez tout ce que l’on sait sur ce téléphone.

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Quel est le meilleur téléphone haut de gamme de 2024 ?

Puis-je vraiment tout faire avec un smartphone haut de gamme ?

Oui. Si vous investissez autant dans un téléphone, heureusement, vous pouvez tout faire. C’est le nec plus ultra. Ces produits sont pensés pour les usages les plus gourmands, faire les meilleures photos et proposer la meilleure expérience générale. Vous n’avez donc à vous soucier de rien.

Qu’est-ce qui fait un smartphone haut de gamme ?

Son prix ! Blague à part, les smartphones haut de gamme proposent simplement ce que la technologie offre de mieux au moment de leur sortie. Vous y trouverez donc les meilleurs SoC du marché, les parties photo les plus complètes, les écrans les plus beaux. Ensuite, ils sont généralement équipés de raffinements supplémentaires tels que la recharge sans fil et l’étanchéité. Enfin, un soin particulier est apporté sur le design, la qualité de construction et les matériaux utilisés.

Quelles sont les marques de confiance ?

Au fil des ans, quelques marques se sont imposées sur le segment haut de gamme, les deux premières marches du podium sont occupées par Samsung et Apple. La troisième place se disputera entre les marques chinoises aux dents longues comme Xiaomi ou Oppo.

Quel forfait pour accompagner mon smartphone haut de gamme ?

Si vous voulez dépenser le moins possible, le choix logique est de choisir un forfait sans engagement. La plupart de ces derniers sont toutefois limités à la 4G. Si vous voulez pleinement exploiter les possibilités de votre smartphone tout neuf, il vous faudra un forfait 5G adapté. Ça tombe bien, nous avons un comparateur de forfaits 5G à disposition ! Si vous ne jugez pas encore la 5G utile, ou que tout simplement, elle n’est pas encore disponible chez vous, un forfait 4G sera plus intéressant. Vous trouverez les meilleures offres du moment dans notre comparateur de forfaits mobiles.

Acheter son smartphone avec un forfait est-il intéressant ?

Les smartphones haut de gamme sont logiquement très chers, et il peut parfois être tentant de réduire la douloureuse en liant l’achat à un forfait mobile. Disons-le d’emblée, un tel choix est rarement intéressant. Dans l’immense majorité des cas, vous payerez moins en séparant l’achat du téléphone et celui du forfait.


Certains liens de cet article sont affiliés. On vous explique tout ici.


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Outre les progrès de chacun des blocs technologiques des puces mobiles (GPU, CPU, ISP, etc.), c’est aussi et surtout leur interconnexion grandissante avec les processeurs neuronaux (NPU) qui va rendre nos smartphones plus rapides, plus pertinents et plus endurants.

L’annonce de la nouvelle puce phare des smartphones haut de gamme de l’année prochaine par Qualcomm est l’occasion de faire un point sur les progrès qui nous attendent. Si chaque génération de processeur mobile (System on a Chip dans le jargon, ou SoC) apporte son lot de nouveautés technologiques, celle de 2023 s’annonce comme un excellent cru.

Chris Patrick, directeur marketing des technologies mobiles pour Qualcomm détaille une partie de la structure du NPU (processeur IA) du nouveau SoC mobile Snapdragon 8 Gen 2. ©Adrian BRANCO / 01net.com

Un des éléments classique d’amélioration globale des performances est la diminution de la finesse de gravure. Or, cette année, ce ne sera pas le cas : Apple, MediaTek et Qualcomm sont tous obligés de rester en 4 nm, la gravure de masse en 3 nm n’étant prévue qu’à partir de la seconde partie de 2023. Aussi, pour marquer la différence par rapport aux puces de cette année, les industriels ont été contraints d’aller chercher ailleurs les progrès. Tout à la fois dans le redesign de chacun des blocs qui composent les SoC, mais aussi en jouant encore plus sur leur entraide. Avec une pièce phare qui est à la source de nombreuses améliorations technologiques des autres blocs : le processeur neuronal ou NPU.

Ray-tracing : la 3D sublimée

Vous avez aimé les effets de lumières de votre Geforce RTX ? Réjouissez-vous : ces effets dits de « lancer de rayons » ou ray tracing (RT) en anglais, arrivent sur vos smartphones… Au moins sur les puces de Qualcomm et MediaTek, Apple n’ayant pour l’heure rien communiqué à ce sujet.

Le principe fondamental du ray-tracing est de calculer des trajectoires de milliers, voire millions de rayons lumineux et de modéliser leurs trajectoires et interactions. Plusieurs méthodes existent, s’appliquant aux ombres, aux effets de transparences, etc. Avec un bénéfice majeur : le rendu de ces effets est incroyablement naturel, et facilite le travail des développeurs qui n’ont plus besoin de programmer des scripts (réflexions dans les miroirs, changement de température de couleurs). Tous les effets étant calculés en temps réel.

A lire aussi : Qualcomm vient de dévoiler le processeur phare des smartphones haut de gamme de 2023 (nov. 2023)

Si l’intégration de ces effets était déjà formidable dans des cartes graphiques affichant  jusqu’à 350 Watts à la prise, on est dans le domaine du petit miracle de les voir arriver dans des puces qui dégagent à peine 5 W ! Derrière cette intégration, il y a non seulement l’amélioration de l’architecture des puces graphiques (GPU), mais aussi des algorithmes de plus en plus pertinents – débruitage, supersampling, etc. Et surtout le travail du NPU, dont les performances en hausse permettent de simplifier et d’accélérer le travail du GPU.

A lire aussi : Qualcomm dévoile Oryon, le coeur de son arme anti-M1, d’Apple (nov. 2023)

Nvidia fut le pionnier de la technologie de ray tracing en temps réel, avec un AMD qui commence à monter en puissance dans le monde du PC. L’arrivée du ray tracing dans les puces mobiles très haut de gamme de Qualcomm et Mediatek devrait accélérer son adoption par les studios de jeux vidéo. Car le marché potentiel des appareils pouvant profiter de ces effets va rapidement exploser.

Segmentation sémantique : révolution du traitement d’image

Judd Heape, directeur du développement du processeur d’image (ISP) des SoC Snapdragon chez Qualcomm © Adrian BRANCO / 01net.com

La photographie numérique a trois piliers : le capteur, le bloc optique et le traitement d’image. Cette dernière composante repose sur le duo que forment le processeur d’image et le trairement logiciel (en fait, une horde d’algorithmes), qui composent le « pipeline » du traitement d’image. Un traitement d’image qui revient à traiter, à la vitesse de la lumière, les millions voire milliards de pixels que les capteurs peuvent avaler chaque seconde.

La grande avancée qui nous attend s’appelle la segmentation sémantique et s’appuie sur un nouveau pilier qui est le processeur d’IA appelé souvent NPU (Neural Processing Unit). En construisant un lien direct entre le processeur d’image (ISP) et le NPU, la future puce Snapdragon 8 Gen 2, de Qualcomm, peut devenir un véritable « cerveau visuel ». Elle va, sur chaque cliché, découper l’image, un peu comme le fait le cerveau humain. C’est-à-dire faire la différence entre une plante, un humain, un chat, les cheveux, la peau, les frondaisons, etc. Un zonage et un étiquetage en temps réal qui a plusieurs bénéfices potentiels, mais surtout un argument majeur : il devrait permettre d’améliorer encore la qualité d’image.

Comment ? Simplement en permettant une plus grande finesse d’application des filtres d’amélioration de l’image. Les capteurs d’image de smartphones et les optiques étant très petits au regard des « vrais » appareils photo, le traitement logiciel est capital dans l’amélioration de la qualité d’image. Seulement voilà, appliquer uniformément les corrections à toute l’image n’est jamais très satisfaisant. Le processeur d’image « cognitif » Spectra de Qualcomm pourra délimiter jusqu’à huit zones appelées « segments » qui sont, comme on a l’a vu, caractérisés (visage, cheveux, chat, etc.).

Et sur chaque zone, le duo ISP & NPU peuvent jouer sur quatre paramètres (tons, saturation, netteté, réduction du bruit) afin de trouver la meilleure correction logicielle possible. Pour rendre des images encore plus naturelles et débarrassées des défauts classiques que l’on retrouve sur les photos numériques (peaux trop/pas assez lissées, manque de précision d’image dans l’herbe, ciels bleus trop/pas assez saturés, etc.).

Vidéo 8K60p HDR : une vraie caméra de cinéma ?

Les prochaines générations de capteurs de Samsung et Sony, couplées au prochain ISP notamment de Qualcomm, offrent la possibilité d’aller encore plus loin en 8K. Après la 8K30p, puis la version 60p, voici arriver la seconde génération de 8K60p HDR, grâce à la capacité du couple capteur + processeur de gérer non pas une mais quatre images par trame soit 240 images de 33 Mpix par seconde. Composer une image à partir de quatre prises de vue ultrarapides permet d’étendre la plage dynamique (plus d’informations dans les hautes et les basses lumières), cette dernière étant historiquement le talon d’Achille physique des petits capteurs.

Il va sans dire que pour en profiter, il faudra des écrans – notamment des téléviseurs – compatibles non seulement avec la vitesse de 60 images par seconde, mais aussi qui soient certifiés HDR. Notez que si l’intérêt de la 8K en tant que telle est toujours très limité à cause du peu d’appareils installés, elle offre aussi l’avantage du suréchantillonnage pour les pros de la vidéo. En effet, tourner en 8K permet de produire, après montage et post-traitement, des séquences 4K de bien meilleure qualité que du « simple » 4K natif.

Modem 5G infusé d’IA : une connexion plus stable et moins énergivore

Si le rôle des processeurs neuronaux est connu dans l’amélioration de la qualité d’image – simulation d’arrière-plans flous, etc. – il est plus nouveau et moins connu dans le monde des modems. Pourtant, son impact, quoique plus difficile à mesurer de prime abord, pourrait être important.

Ce qu’il faut bien saisir, c’est que la 5G est une technologie à la fois bien plus riche, complexe et adaptative que la 4G. Selon le déplacement du smartphone dans l’espace réseau (dans une rue, par exemple), le modem 5G va s’adapter aux différentes antennes qui l’entourent en en privilégiant certaines, et certaines des  fréquences. Le tout en communiquant avec les stations de base qui, elles aussi, vont s’adapter en temps réel. En conséquence, un modem 5G, qui est plus performant et plus polyvalent qu’un modem 4G, est logiquement plus énergivore. Notamment en cas d’utilisation d’ondes millimétriques.

C’est là que les algo dits « IA » et les processeurs neuronaux, externes ou intégrés dans le modem, vont jouer un rôle de plus en plus important. Plutôt que de s’adapter par rapport à des scénarios fixes, le modem va pouvoir utiliser de complexes modèles d’entraînement pour s’adapter à son environnement. Ceci, en utilisant le NPU qui s’avère bien plus efficace énergétiquement que toutes les autres puces à qui il peut faire appel. En conséquence, les concepteurs de puces promettent des économies substantielles d’énergie. De quoi gagner de précieux pourcents de batterie à la fin de la journée. Sans avoir rogné sur la qualité de connexion.

WiFi 7 : toujours plus vite, toujours moins d’énergie

Toujours en matière de connexion, le smartphone devance le PC en matière de réseau sans-fil avec l’arrivée du Wi-Fi 7… avant même que la norme ne soit totalement validée ! Pour l’heure exclusive au Snapdragon 8 Gen 2, de Qualcomm, cette nouvelle norme – dont l’essentiel des éléments sont désormais figés – devrait être entérinée dans le courant de 2023.

A lire aussi : Qualcomm va-t-il enfin initier la révolution des lunettes AR grâce à ces trois puces ? (nov. 2023)

Outre la traditionnelle amélioration des débits, allant ici jusqu’à 5,8 Gbit/s en utilisant la bande des 6 GHz (4,3 Gbit/s sans cette bande), le Wi-Fi 7 promet aussi des latences abaissées. Et, encore une fois, une baisse de la consommation énergétique, nerf de la guerre des appareils mobiles. En matière de latence, Qualcomm promet d’aller en dessous de 2 ms – et ce, de manière constante, pas uniquement en pointe. Si le gaming peut venir à l’esprit dès lors qu’on parle de latence, il s’agit aussi ici de réduire le temps de communication, notamment dans le cas des usages AR/VR/XR. Tout délai avec ces lunettes causant potentiellement un inconfort à l’utilisateur (cinétose).

Outre les débits, le Wi-Fi 7 promet aussi et surtout des latences et une consommation énergétique réduites.

Finalement, au travers d’une utilisation plus adaptée des débits, fréquences, antennes, normes, etc. le Wi-Fi 7 promet une économie d’énergie (de la consommation réseau, pas de la plate-forme totale !) allant de 30% et jusqu’à 50%. Des gains très significatifs qui devraient, comme pour ceux obtenus en 5G, permettre d’étendre là encore la durée de vie de la batterie de votre terminal. Potentiellement au-delà d’un ou deux jours… selon les batteries intégrées et les usages des utilisateurs.

Si la course à la puissance pure des CPU et GPU continue, cette nouvelle génération de puce cherche aussi et surtout à améliorer les usages. Qu’il s’agisse de graphisme, de traitement d’image, de réseau ou autre, tout est bon pour repousser les limites. Avec en filigrane la recherche constante d’économies d’énergie. Et la pièce maîtresse de ces améliorations reste le NPU, une puce logique finalement bien plus mystérieuse que les CPU et GPU, tant les constructeurs sont avares de détails. Pour mieux préserver leurs secrets ?


Vous souvenez-vous de votre vie avant l’explosion de l’internet Ă  grande vitesse? Non? L’Ă©poque de la grande transformation digitale n’est pourtant pas si lointaine que ça…Souvenez-vous, dans un monde ou Google, YouTube, Wikipedia, Skype et iPhone n’existaient pas encore :

  • Vous utilisiez les PagesJaunes pour appeler un client ;
  • Vous Ă©tudiez attentivement une carte routière avant de partir en voyage ;
  • Vous gardiez des pièces dans votre poche pour passer un appel d’une cabine tĂ©lĂ©phonique ;

L’accélération des nouvelles technologies et l’avènement du digital ont drastiquement changé nos vies professionnelles et personnelles, souvent pour le meilleur. Nous avons désormais un accès illimité à l’information au bout de nos doigts, nous pouvons nous connecter avec des inconnus vivant à l’autre bout de la planète, nous avons une meilleure compréhension du monde qui nous entoure, nous pouvons explorer et découvrir de nouveaux intérêts, etc.

Le grand paradoxe du XXIe siècle

Mais ces progrès technologiques, qui sont l’essence-mĂŞme de la nature humaine, ont Ă©galement profondĂ©ment modifiĂ© notre manière de communiquer les uns avec les autres. La transformation digitale nous a apportĂ© beaucoup d’outils et d’applications (gratuits ou Ă  un prix dĂ©risoire) qui nous permettent de rester en contact en tous temps. Mais, d’un autre cĂ´tĂ©, nos relations humaines se sont dans le mĂŞme temps sensiblement dĂ©gradĂ©es.

J’aimerais, pour illustrer mon propos, prendre en exemple : le smartphone, objet qui a révolutionné nos vies ces dernières années, a pris le contrôle de notre vie quotidienne.

1. Plus qu’un téléphone, notre smartphone est une extension de nous-mêmes

Dans un entretien au site Voice of America, l’éditeur associé du célèbre magazine Rolling Stone déclarait que « les smartphones sont en train de ruiner les concerts ». C’est en effet lors d’une représentation de Leonard Cohen auquel il assistait depuis la première rangée qu’il se rendit compte que, derrière lui, tout le monde avait dégainé son smartphone pour filmer l’artiste et avait les yeux rivés sur les écrans. « Nous étions en train de vivre l’un des plus beaux concerts de l’un des plus grands musiciens en activité, et personne ne le regardait réellement, tout le monde était absorbé par son smartphone, plus concerné par le statut Facebook ou le tweet à envoyer que par le spectacle en lui-même ».

Si je vis une expérience mais que je ne la tweete pas, a-t-elle réellement existé ?

Le plus incroyable dans ce phénomène, c’est qu’il nous a submergé tel un raz-de-marée en seulement quelques années.

Il en devient presque effrayant de voir à quelle vitesse nous nous approprions les nouvelles technologies et en faisons un élément incontournable de notre quotidien. Qui sait ce que nous trouverons quand une nouvelle photo sera prise dans les mêmes circonstances et au même endroit dans 10 ans ?

2. Nous avons sacrifié l’interaction humaine pour la connexion

Conséquence directe de la transformation digitale, nous nous reposons de plus en plus sur la technologie et de moins en moins sur nos semblables. Combien d’entre nous envoient des textos ou publient un statut Facebook durant un dîner en famille ? Combien consultent leur email dans la file d’attente du supermarché ? Combien emportent leur laptop en vacances ou lors du match de foot du dimanche de leur enfant ? Ce sont autant d’occasions perdues de parler avec de vraies personnes.

Comme le dit la professeur de sciences sociales au MIT Sherry Turkle dans la présentation TED Talk ci-dessous, « les outils numériques nous servent à fuir les conversations ». D’après elle, nous substituons les réelles interactions au profit des virtuelles car ces dernières nous permettent de nous présenter sous notre meilleur jour : nous pouvons réfléchir avant de publier un statut Facebook ou d’envoyer un SMS et nous pouvons éditer nos messages, ce que ne permettent pas les discussions en face-à-face, plus spontanées et donc inconfortables.

3. Nous sommes des esclaves de notre smartphone

Question : quelle est la première chose que vous faites quand vous vous levez le matin ?

Selon les résultats d’une étude récente, il y a de fortes chances que vous jetiez un coup d’œil à votre smartphone avant toute autre chose, comme 62% des répondants. Et le pourcentage monte jusqu’à 79% dans les 15 minutes après le réveil.

Autres statistiques surprenantes :

  • Les possesseurs de smartphones ont en moyenne 7,4 applications dĂ©diĂ©es aux relations sociales ;
  • De vendredi Ă  dimanche, 163 minutes sont passĂ©es sur les rĂ©seaux sociaux ou outils de communication ;
  • En semaine, nous n’en dĂ©pensons « que » 87

Sommes-nous devenus totalement accros à notre smartphone? Très certainement, lorsque l’on se rend compte que 9 personnes sur 10 se sentent stressés quand leur téléphone tombe a court de batterie…

Bref, le smartphone a radicalement changĂ© notre manière d’apprĂ©hender le monde qui nous entoure et affecte nos relations sociales. Nous l’utilisons comme un « cerveau externe » qui nous permet de communiquer, de stocker de l’information, voire de vivre des vies secondaires. Et, que nous en soyons conscients ou pas, ce petit appareil a un impact sur nos vies beaucoup plus important que ce qu’on imagine…


Welcome, step inside and take a seat ... actually before you sit down, let me show you around. This is our new Envato headquarters in Melbourne, Australia. Situated in Melbourne’s central business district, on King St, home to a weird mix of big corporate buildings, delicious Japanese food and *ahem* gentlemen’s clubs!

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Echo Three to Echo Seven. Han, old buddy, do you read me? Loud and clear, kid. What’s up? Well, I finished my circle. I don’t pick up any life readings. There isn’t enough life on this ice cube to fill a space cruiser. The sensors are placed. I’m going back. Right. I’ll see you shortly.


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